IL ARRIVE !
Quatre ans après « Au bord des cendres », voici « L’homme qui rêvait d’ailleurs ».
Sortie officielle le 11 avril 2013.

Des Cévennes à Hollywood… à la poursuite du destin.
Endo, 27 ans, s’ingénie à vouloir réaliser ses rêves les plus fous : devenir acteur et rencontrer ses idoles Brando ou Pacino. Il rêve de faire sienne la devise de Scarface, son film culte : « The world is yours ».
En attendant cette hypothétique gloire, il est barman au Gin Fizz, dans le centre d’Alès. Un jour, des découvertes ahurissantes vont le précipiter dans un tourbillon infernal. Entre rêve et réalité, Endo se trouve embarqué dans une affaire d’espionnage où secrets, trahisons, filatures, course-poursuite et explosions, répondent aux déclamations théâtrales, tirades et monologues, avec en toile de fond la quête unique d’un impossible rêve.
Comme pour mon premier roman, l’écriture de celui-ci est aussi une longue histoire. C’est en 1990 que j’ai écrit les premières lignes d’ « À côté de vivre » (le titre original, qui n’a pas été conservé par mon éditeur). C’était alors un scénario, rapidement terminé en 1991.

Puis de 2001 à 2012, j’ai élaboré une version roman, avec de longues périodes durant lesquelles j’ai laissé « grandir » l’histoire qui, je dois dire, n’a plus grand-chose à voir aujourd’hui avec le scénario original.
Ce second roman est né en grande partie de mon imagination, de mon vécu lors de mes années parisiennes, mais aussi et surtout, cette histoire est librement inspirée de celle très personnelle d’un de mes camarades du Cours Florent où j’étais élève de 1989 à 1991.
Tout quitter – même celle qu’on aime – pour monter à Paris dans le but incertain de réaliser un impossible rêve, telle a été l’étincelle de départ. C’est ce qu’a fait Laurent, comme tant d’autres. Avec ou – ce qui est le plus souvent le cas, hélas – sans succès, mais animé par un but commun : tout faire pour ne passer à côté de sa vie, pour ne rien regretter. Depuis, qu’est-il devenu ? Je l’ignore, car on ne s’est plus revu depuis 1993. Parce que la vie est ainsi faite de routes qui se séparent.
« L’homme qui rêvait d’ailleurs » raconte l’histoire de personnages appartenant à des mondes différents, et dont les destins vont pourtant être liés, pour ne pas laisser passer les rêves et pour ne jamais cesser de vivre.
« Et, lorsque vous lirez les dernières lignes de la troublante histoire d’Endo Golski, vous comprendrez de la manière la plus naturelle qui soit, que toute prédiction n’est pas le fruit d’une exaltation inepte et irrationnelle, mais au contraire, la matière vivante de toutes les imminentes réceptivités des Êtres. Car oui, je le dis tout de go, je crois à nouveau aux forces de l’esprit. »
(Madame Dubhé, cartomancienne. Extrait de « L’homme qui rêvait d’ailleurs ».)
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