C’est l’histoire d’un roman, et peut-être, un jour, je l’espère, celle d’un film.
Une bande annonce vaut mille fois mieux qu’un résumé, aussi court soit-il…
Il y a longtemps que j’en rêvais, c’est fait.
Mes remerciements vont tout d’abord à Patrice Crucy, compositeur, qui m’a autorisé à utiliser sa musique pour la 2ème partie de la bande son. Le jour où j’ai découvert son merveilleux concerto pour piano et orchestre, j’ai su dans l’instant que lui seul pouvait transporter toute l’histoire d’Au bord des cendres, jusqu’à ce crescendo d’un final haletant.
Concernant la Pavane de Gabriel Fauré, elle est à l’image même de mon héroïne Valentine : à la fois douce et fragile, puissante et émouvante.
Pour finir, merci à Claude, Carole, et mon éditeur Jean-Laurent pour leurs conseils judicieux dans l’élaboration de cette bande annonce.
À la question, « Au bord des cendres, ça raconte quoi ? », je répondrai tout simplement ceci : visionnez la bande annonce et vous comprendrez…
En toute fin, il reste toujours quelque chose… Des cendres et des braises… car rien n’est éteint.

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