
Il est arrivé !
En vente chez l’éditeur depuis le 29 septembre 2022 ; et bientôt en commande chez les libraires et sur les plateformes de vente en ligne.
« On ne vient jamais pour la première fois en Algérie. Et on ne la quitte jamais pour toujours. » Malek Haddad, poète kabyle.
Résumé :
« Le soleil blanc du silence » est une épopée qui raconte sur plusieurs générations l’histoire d’une famille d’émigrés espagnols en terre d’Algérie au début du XXème siècle. C’est aussi l’histoire malheureuse des Pieds-noirs d’Algérie, vue à travers le destin de plusieurs personnages.
Ces premiers émigrés fuient la famine et leur terre natale, et grâce à leur courage, leur abnégation, ils partent en quête d’un avenir meilleur. Leurs enfants feront de ce pays d’accueil leur patrie.
Au fil des pages, les amours, les départs, les voyages, les histoires d’amitié, les trahisons, les tragédies familiales et celles de l’Histoire avec un grand H, font de ce livre une saga où tous les personnages sont à la recherche de la vérité de leur existence.
Extrait :
C’est un véritable triomphe ! Les bras se lèvent, les mains s’agitent, les bannières dressées à bout de bras flottent au vent sous les vivats de la foule. Puis, notre héros apparaît enfin ! Ouvrant ses bras comme pour nous accueillir contre son cœur, de Gaulle s’avance au balcon, mains levées en signe de victoire, visage rayonnant et triomphateur. Pendant plusieurs minutes, la population algéroise et je dirais même le pays tout entier, l’acclame comme son sauveur. C’est un homme à la stature immense, doté d’une taille exceptionnelle et d’un incontestable charisme. Le général de Gaulle est face à nous ! Multipliant les gestes de la main pour demander une accalmie ou un semblant de silence, il finit par s’approcher enfin du micro. La foule semble retenir son souffle. Alors, la voix rauque légèrement éraillée mais tellement puissante de de Gaulle retentit dans les haut-parleurs installés tout autour de la place du Forum : « Je vous ai compris ! »

Bonne route au « Soleil blanc du silence » ! Et que le verdict de sa destinée soit aussi lumineux que ne l’est le soleil d’Algérie !
Le mot de la fin au personnage Antoine Martinez qui au soir de sa vie nous surprend avec cette réflexion : « Il faut accepter le verdict de nos destinées dès l’instant où nous avons le sentiment et la certitude d’avoir défendu nos valeurs, nos espérances et notre idéal, avec honneur et conviction. »
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